Comment réussir ses oraux en droit ? 7 conseils !

Par Maxime Bizeau, Avocat de formation, diplômé de l'école d'avocats du Barreau de Paris

oraux

 

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On présente souvent les matières à TD comme les matières les plus importantes en fac de droit. Il est vrai que ce sont des matières qui ont généralement un coefficient plus élevé que les matières qui donnent lieu à des oraux, et qui nécessitent plus de travail et d’approfondissement.

C’est justement pour cette raison qu’il faut à tout prix éviter de négliger les oraux ! Certes ces matières comportent un coefficient plus faible. Mais il est généralement très « rentable » de les travailler (en terme de temps passé). En effet, les oraux ne sont au final ni plus ni moins que des questions de cours, et il est réellement possible d’obtenir d’excellentes notes à ce type d’examen, beaucoup plus qu’à un commentaire d’arrêt ou à une dissertation juridique…

Pour être tout à fait honnête avec vous, j’ai obtenu des mentions en licence et en master en grande partie grâce aux examens oraux, sur lesquels j’avais concentré beaucoup d’efforts. J’ai ainsi obtenu à plusieurs reprises des notes supérieures à 16 (dont un 18) à ce type d’examen. En revanche, avoir plus de 16 à un commentaire d’arrêt, cela ne m’est jamais arrivé (et peu de gens y arrivent !).

Comprenez bien que vous pouvez très bien vous en sortir pour les oraux simplement en apprenant votre cours et en le recrachant, ce qui est beaucoup moins vrai pour les matières à TD… N’hésitez donc pas à mettre le paquet sur ces matières !

De plus, selon les universités, les examens oraux représentent entre 2 et 4 matières par semestre. Les oraux peuvent donc tout à fait être déterminants dans l’obtention de votre année (ou d’une mention !), et nécessitent donc que vous y accordiez une attention toute particulière.

Au fur et à mesure de mes années de droit, j’ai de mieux en mieux cerné ce type d’examen, ses codes et les attentes des examinateurs. Dans cet article, je vais vous partager mes meilleurs conseils pour cartonner aux examens oraux 😉 C’est parti !

Nota Bene : Bien évidemment, les conseils qui vont suivre ne vous serviront que si vous avez un minimum révisé avant les examens ! Pour cela, vous pouvez lire mon article sur comment bien réviser ses partiels de droit.

 

Conseil n°1 : Revoir le plan du cours juste avant l’examen

Je sais que ce conseil ne va probablement pas faire l’unanimité ! Beaucoup de gens sont opposés au fait de réviser juste avant les examens. Certains considèrent que cela accentue leur stress, et, à vrai dire, si vous êtes de nature très anxieuse ou stressée, ce n’est peut-être pas une bonne idée pour vous d’appliquer ce conseil.

Toutefois, je ne vous conseille pas ici de relire votre cours avant l’examen. Je vous conseille au contraire de relire le plan de votre cours, ce qui fait une très grosse différence ! Oui mesdames et messieurs la nuance est énorme 😉 Car si vous relisez votre cours, vous risquez effectivement de vous perdre dans des développements que vous ne maîtrisez pas tous sur le bout des doigts. Mais relire simplement le plan du cours est au contraire extrêmement utile ! En effet, bien souvent les sujets donnés aux oraux correspondent à des extraits de votre cours. Ainsi, si vous tirez un sujet dont l’intitulé correspond au premier paragraphe de la deuxième section du troisième chapitre de votre cours, alors mettez-vous bien en tête que votre examinateur (généralement votre prof) attend de vous que vous repreniez bien tous les éléments importants qui sont développés dans ledit paragraphe. Cela signifie que votre exposé doit être structuré de la même façon que le paragraphe dans votre cours, et reprendre les mêmes subdivisions que votre cours sous forme de A), B), 1), 2), etc… En cela, relire le plan du cours juste avant l’examen va vous aider à bien avoir en tête les différentes subdivisions du cours, et donc à structurer votre exposé de la bonne façon. En ayant bien en tête le plan du cours, vous vous assurez déjà de ne rien oublier de très important pendant l’examen !

 

Conseil n°2 : Faire un exposé structuré

Parfois, le sujet que vous tirez pour votre examen oral n’est pas aussi évident, et vous ne pourrez alors pas vous en sortir en récitant simplement la partie du cours correspondante. Le sujet sera par exemple posé sous forme de question et il vous faudra alors utiliser vos connaissances pour répondre à la question.

Dans tous les cas, il est très important de structurer votre exposé ! Un peu comme ce que vous faites pour les examens écrits. Ainsi, commencez par une introduction dans laquelle vous partez du général pour aller vers le particulier : situez le sujet dans son contexte, définissez les termes et reformulez la question pour bien montrer que vous avez compris la problématique posée par le sujet. Annoncez ensuite votre plan, généralement en deux parties. Oui, je vous ai dit qu’on faisait comme à l’écrit ! 😉

Une des principales erreurs que font les étudiants est de simplement répondre au sujet en récitant leurs connaissances sans aucune structure, sans faire de plan et donc sans avoir une démonstration logique. Mais vous êtes des juristes ! A l’oral aussi on attend de vous que vous fassiez preuve de méthodologie et de clarté ! Je vous conseille donc d’être le plus clair possible au moment de l’annonce de votre plan, puis ensuite de vos sous-parties. Utilisez des phrases comme :

Dans cet exposé, nous verrons dans un premier temps [titre de votre première partie]… Dans un second temps, il sera question de [titre de votre deuxième partie].

Il s’agit au final d’aider l’examinateur, de lui faciliter la tâche pour qu’il comprenne simplement et rapidement où vous voulez en venir dans cet exposé. Vous pouvez aussi, comme à l’écrit, utiliser une phrase de transition entre vos parties. Un bon moyen de bien faire ressortir vos différentes parties est également de marquer des petits temps de pause entre les parties. Par exemple, vous avez dit tout ce que vous aviez à dire sur la première sous-partie de votre deuxième partie et vous souhaitez maintenant attaquer la deuxième sous-partie. Une bonne chose est alors de marquer un temps d’arrêt de quelques secondes, puis de reprendre de la façon suivante :

S’agissant maintenant de [titre de votre deuxième sous-partie]…

Facilitez la vie du correcteur, et il vous le rendra au moment de la notation 😉

 

Conseil n°3 : Ne pas tout écrire au brouillon

Première chose : cela dépend des universités, mais vous disposez généralement d’un temps de préparation très court, de l’ordre d’une dizaine de minutes !

Mettez-vous donc bien en tête que vous n’avez pas le temps de recopier votre cours au brouillon dans ce laps de temps !

Deuxième chose : si vous écrivez trop de choses au brouillon, vous aurez alors tendance à lire vos notes au moment de l’examen, et ce n’est pas du tout ce que l’on attend de vous !

Vous devez au contraire regarder votre examinateur, essayer d’expliquer, de démontrer, plutôt que de simplement réciter. La forme est très importante pour les oraux (mais on reviendra sur ce point plus tard !).

Une bonne partie de votre prestation se joue au moment où vous préparez votre brouillon. Il s’agit donc de préparer un « brouillon intelligent » qui vous servira de support pendant votre exposé, mais sur lequel vous ne devez pas entièrement vous reposer.

Alors plutôt que d’écrire des phrases complètes, écrivez simplement des mots-clés ! Utilisez également des « bullet points », des flèches ! Par exemple :


Conditions du dol :

  • élément subjectif ou intentionnel : volonté de tromper autre partie
  • élément objectif ou matériel : manoeuvres, mensonges ou silence (réticence dolosive)
    • ex : vendeur dissimule importants défauts
  • dol doit provoquer erreur déterminante du consentement de la victime : sans cette erreur → victime n’aurait pas contracté

D’une certaine manière, vous serez alors contraint de reformuler vos idées au moment de votre exposé, ce qui vous aidera à ne pas réciter et à rendre votre exposé plus « vivant » pour votre examinateur !

 

Conseil n°4 : Ne pas trop montrer son stress

Stresser, c’est normal !

C’est peut-être le plus gros problème auxquels les étudiants font face au moment des oraux. Les oraux sont particulièrement stressants parce que vous êtes évalué, « jugé » en direct par un professeur, et ce pendant de longues minutes.

Vous devez d’abord bien comprendre qu’il est normal d’être stressé pour un oral. Le fait d’être stressé est simplement un indicateur du fait que vous comprenez les enjeux… Que certes vous ne jouez pas votre vie à ce moment-là, mais que vous avez conscience qu’il s’agit quand même de quelque chose d’important que vous aimeriez réussir.

Certains vous conseilleront d’évacuer votre stress, de vous libérer de votre stress, en prenant une grande inspiration et en respirant très lentement… Oui c’est bien gentil… Mais c’est en réalité impossible ! Je préfère être très clair avec vous : VOUS NE PARVIENDREZ PAS A VOUS DEBARASSER DE VOTRE STRESS ! Le stress fait et fera partie de votre vie ! Oui, même après la fac, une fois dans le monde professionnel, vous devrez encore faire face à des situations de stress ! Je peux vous le confirmer 😉

Ce qui importe au final, c’est de ne pas trop montrer son stress à l’examinateur ! Vous devez bien avoir en tête que le prof qui va vous écouter parler pendant 10 minutes a tout sauf envie de passer un mauvais moment et de ressentir votre stress. Si l’examinateur vous sent hyper stressé, soyez sûr qu’il sera alors moins focalisé sur le fond de ce que vous dites que sur ce que vous laissez transparaître, ce qui vous coûtera de précieux points. Mais pas de panique ! Il existe quelques techniques simples pour ne pas communiquer son stress !

 

stress oral

 

Comment ne pas communiquer son stress ?

D’abord, posez vos mains à plat sur le bureau ! Cela vous évitera de les tripoter et de les tordre dans tous les sens !

Posez également vos pieds à plat sur le sol ! Toujours afin d’éviter de croiser, décroiser, re-croiser les jambes, ce qui est un signe de stress !

SOURIEZ ! Soyez aimable et poli ! Une personne agréable a toujours l’air moins stressée qu’une personne qui tire une tête d’enterrement. Et souvenez-vous que le prof souhaite simplement passer un bon moment après avoir vu défiler des dizaines d’autres étudiants. Alors dites bonjour, ayez l’air enjoué et sympathique 😉

Egalement, un très bon moyen de ne pas paraître stressé est tout simplement de le reconnaître devant l’examinateur. Je l’ai souvent fait pendant mes oraux, et j’ai toujours trouvé que cela m’enlevait de la pression. Je m’explique.

Souvent, au moment où vous vous présenterez devant l’examinateur, ce dernier vous demandera alors comment vous allez. Il suffit alors de lui répondre, toujours en étant très souriant :

Très bien, merci ! Un petit peu stressé mais ça va !.

A ce moment-là le prof vous répondra très certainement que c’est tout à fait normal, qu’il ne faut pas vous inquiéter, etc… De cette manière, le prof aura tendance à tenir compte du stress pour vous évaluer, et sera dans une optique de compréhension de votre situation. Faites-le test, vous verrez que vous serez plus détendu après avoir avoué vos faiblesses 😉

Ne pas se laisser déstabiliser par l’examinateur

Enfin, il arrive parfois que l’examinateur soit d’humeur taquine et décide de jouer un petit avec vous, de vous tester… Vous avez peut-être déjà fait face à un examinateur qui préférait regarder par la fenêtre ou tripoter son téléphone plutôt que de vous écouter. Dans ce genre de cas, il n’y a en réalité qu’une chose à faire !

[…]

RIEN ! Oui Mesdames et Messieurs, absolument rien ! Il ne faut rien changer à ce que vous faites, à votre attitude, et au contraire continuer votre exposé comme si de rien n’était. Pourquoi ? Tout simplement parce que dans 95% des cas, l’examinateur ne fait que vous tester et cherche à évaluer votre capacité à résister à la pression dans une telle situation.

Je me souviens parfaitement d’un oral où l’examinateur avait adopté ce type d’attitude. Pourtant, j’avais le sentiment de plutôt bien maîtriser le sujet. Pourquoi diable persistait-il à faire comme si je n’étais pas là ?

J’ai eu la sensation qu’il ne s’agissait probablement que d’une manière de me tester. Et j’ai donc continué mon exposé comme si de rien n’était.

Au final, j’ai eu 18/20.

Alors ne cédez pas à la panique si vous faites face à ce genre de situation ! Bien souvent, ça ne veut rien dire 😉

 

Conseil n°5 : Montrer de l’intérêt pour le sujet

C’est un conseil qui peut vous faire gagner quelques points. Encore une fois, souvenez-vous que vous avez en face de vous un prof qui (sauf exception) est passionné par sa matière. Ce qu’il veut, c’est avoir en face de lui un étudiant qui fasse l’effort de s’y intéresser, même s’il ne connaît pas tout le cours sur le bout des doigts ! Si vous avez l’air impassible, blasé, et que vous donnez l’impression de ne pas savoir pourquoi vous êtes là, alors le prof risque de se faire une piètre opinion de vous !

Vous devez au contraire faire preuve d’énergie, de dynamisme. Vous devez avoir l’air enthousiaste, voire même passionné. Attention, il ne s’agit pas non plus d’en faire des caisses ! Mais le prof ne pourra qu’apprécier que vous vous intéressiez à ce qui l’intéresse lui-même.

Une bonne manière de montrer de l’intérêt pour le sujet est d’essayer d’expliquer ce que vous dites plutôt que de simplement réciter.

Vous devez à tout prix éviter de parler de manière monotone, sans mettre le ton, en lisant simplement votre brouillon. Essayez plutôt d’expliquer les notions au prof ! Levez le nez de votre brouillon et reformulez les éléments avec vos propres mots (en gardant bien évidemment un langage juridique !). Essayez de faire comme si le prof n’était pas un juriste, comme s’il n’était pas un spécialiste de la matière !

Si l’on reprend l’exemple des conditions du dol, vous pouvez, après avoir exposé les différentes conditions, donner des exemples de dol en expliquant bien en quoi les conditions du dol sont remplies. Regardez alors le prof dans les yeux et expliquez lui que :

Par exemple, il y’aura dol dans le cas d’un vendeur qui dissimulerait d’importants défauts inhérents à la chose vendue, et ce en connaissance de cause.

En effet, il y’aurait alors bien une volonté de tromper son cocontractant de la part du vendeur, ce qui correspond à l’élément intentionnel du dol.

L’élément matériel du dol serait également présent puisqu’il y’aurait en l’espèce réticence dolosive : le vendeur évite de parler des défauts de la chose à l’acheteur alors qu’il en a connaissance.

Enfin, comme il s’agit en l’espèce de défauts importants inhérents à la chose, on peut estimer que l’acheteur n’aurait pas contracté en ayant eu connaissance de ces défauts. L’erreur causée par le dol a donc bien été déterminante de son consentement au contrat.

Cet exemple du vendeur qui dissimulerait d’importants défauts remplit donc bien toutes les conditions pour qu’il y’ait dol.

Soyez sûr qu’à ce moment-là le prof se dira que vous avez bien compris le cours et en tiendra compte dans sa notation 😉

 

Conseil n°6 : Avoir une élocution irréprochable

C’est très important ! Trop souvent, les étudiants ne s’expriment pas suffisamment clairement. Le prof doit alors faire l’effort de tendre l’oreille, ne comprend parfois pas plus d’un mot sur deux, et cela est très agaçant pour lui.

Vous devez donc parler le plus clairement possible afin d’aider le prof à comprendre votre exposé. Pour cela, n’hésitez pas à parler assez lentement. Bien souvent les étudiants parlent trop vite, et sont donc difficiles à suivre. Au contraire, si vous adoptez un débit assez lent, en faisant des pauses régulières et en faisant l’effort de bien articuler, vous rendrez votre exposé plus agréable à écouter pour le prof, et il vous le rendra au moment de la notation 😉

 

Conseil n°7 : Ne jamais répondre « Je ne sais pas »

Une fois que vous avez terminé votre exposé, l’examinateur vous pose généralement une série de questions.

A ce stade de l’examen, il faut bien comprendre que l’examinateur a déjà une idée assez précise de la note qu’il va vous mettre. Sur la base de votre exposé, l’examinateur vous a en effet probablement déjà rangé dans une catégorie correspondant à une fourchette de notes :

  • étudiant qui n’a rien ou quasiment rien foutu : note < 10
  • étudiant qui connaît plutôt bien son cours : note entre 10 et 14
  • étudiant qui semble très bien avoir appris son cours : note entre 14 et 18 (oui, maximum 18 ! ça n’arrive jamais d’avoir 19 ou 20 en fac de droit ! enfin pas que je sache ;))

Dès lors, ce n’est pas au moment des questions que vous allez pouvoir faire complètement basculer votre note. Toutefois, vous pouvez gagner (ou perdre) 3 ou 4 points en fonction des réponses que vous allez donner, et il s’agit donc d’une étape de l’examen qu’il ne faut pas négliger.

Il y’a une chose qu’il ne faut surtout pas faire au moment des questions : répondre que vous ne savez pas.

En répondant « Je ne sais pas », vous envoyez un mauvais signal à l’examinateur car vous ne faites même pas l’effort de réfléchir, d’essayer de situer sa question par rapport au cours et à vos connaissances.

Ainsi, quand le prof vous pose une question et que vous ne savez pas, prenez d’abord un temps de réflexion ! Il n’y a aucun problème à rester silencieux pendant une dizaine de secondes si le prof a le sentiment que vous faites l’effort de fouiller dans vos connaissances pour répondre à sa question. Prenez un air songeur et n’hésitez pas, ensuite, à réfléchir à voix haute pour montrer que vous avez des connaissances en lien avec la question (même si vous n’avez pas la réponse exacte). Il y’a alors fort à parier que l’examinateur se mette à vous aiguiller pour vous faire trouver la réponse, ou même vous donne la réponse. Une fois la réponse révélée au grand jour, une bonne chose est alors de faire comme si vous connaissiez la réponse mais que vous l’aviez simplement oublié, comme si c’était évident ! Faites comme si vous vous en vouliez de ne pas vous en être souvenu et répondez au prof :

Oui, bien sûr ! Je le savais pourtant…

Reformulez ensuite la réponse avec vos propres mots afin de montrer au prof qu’il s’agit bien de quelque chose que vous connaissiez. De cette manière vous donnerez l’impression de connaître votre cours mais d’avoir simplement eu un trou de mémoire.

 

Conclusion

Ces conseils ne sont que le fruit de ma propre expérience. Ils ne conviendront peut-être pas à tout le monde. Chacun a sa propre méthode. Mais ils m’ont en tout cas beaucoup aidé pour réussir mes oraux en droit. Et j’espère qu’ils vous aideront tout autant 😉

N’hésitez pas à laisser un commentaire pour partager les techniques que vous utilisez pour réussir vos oraux.

A bientôt pour de nouveaux conseils !

Maxime

 

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Je m’appelle Maxime Bizeau, et je suis avocat de formation, diplômé de l’école d’avocats du Barreau de Paris.

Après mon bac, je me suis lancé dans l’aventure de la licence de droit.

Mais très vite, je me suis senti submergé par la charge de travail. Des centaines et des centaines de pages à apprendre, sans savoir sur quoi se focaliser, sans savoir ce qui était réellement important et ce qui ne l'était pas.

Mes résultats étaient irréguliers, et pas à la hauteur de mes espérances.

J’ai donc décidé de changer ma méthode de travail. Plutôt que d'essayer de tout retenir, j'ai commencé à ficher mes cours régulièrement, et à relire ensuite mes fiches avant les examens.

Rapidement, mes résultats se sont considérablement améliorés.

J’ai finalement validé ma licence avec mention (13,32 de moyenne) et mon master 1 en droit des affaires avec 15 de moyenne.

Ces bons résultats m’ont ouvert les portes du prestigieux Master 2 Droit financier de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et des plus grands cabinets d’avocats d’affaires internationaux.

J’ai ainsi pu travailler dans des cabinets anglo-saxons très réputés à Paris, avec des gens brillants, sur des dossiers passionnants, et dans des conditions optimales.

A travers ce site, je souhaite aider un maximum d’étudiants en droit à atteindre leurs objectifs.

  • R GINEYS dit :

    Bien aussi,

    Et conseil n° 8 Bien gérer sa respiration.

    Et oui, nos cordes vocales, ce sont des tractions à vent et non des propulsion à bière.

    On prend bien ses respirations et pas d’alcool avant.

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