Arrêt de principe : définition et critères d’identification

Par Maxime Bizeau, Avocat de formation, diplômé de l'école d'avocats du Barreau de Paris

arrêt de principe

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Dans le cadre d’un commentaire d’arrêt, vous serez vite confronté à une question essentielle :

Suis-je face à un arrêt de principe ou non ?

Pour apprécier la valeur d’un arrêt et déterminer sa portée, il est en effet indispensable d’identifier si l’arrêt que vous avez à commenter est un arrêt de principe.

Dans cet article, je vais vous expliquer :

  • ce qu’est un arrêt de principe
  • en quoi les arrêts de principe se distinguent des arrêts d’espèce
  • comment identifier un arrêt de principe

Vous allez notamment découvrir 6 astuces pour savoir si vous êtes face à un arrêt de principe ou non.

A la fin de cet article, vous saurez comment identifier un arrêt de principe facilement, ce qui devrait vous permettre d’améliorer vos notes en commentaire d’arrêt.

Sans plus attendre, c’est parti 🙂

 

L’arrêt de principe : définition

Vous devez d’abord comprendre une chose essentielle : le but des juridictions suprêmes (la Cour de cassation et le Conseil d’Etat) est d’unifier l’interprétation de la jurisprudence. Autrement dit, il s’agit de faire en sorte que l’interprétation de la règle de droit soit la même sur tout le territoire.

Cependant, la Cour de cassation (comme le Conseil d’Etat) ne peut pas rendre des arrêts de règlement, qui énoncent une règle générale qui serait applicable aux cas similaires.

Ainsi, l’article 5 du Code civil dispose que : « il est défendu aux juges de prononcer par voie de disposition générale et réglementaire sur les causes qui leur sont soumises ».

Le jugement rendu pour un litige doit être applicable à ce litige seul et ne pas établir un précédent qui devra être suivi par les autres juges. Les juridictions suprêmes n’ont donc pas la possibilité de prononcer des arrêts qui régiront de manière contraignante les situations futures.

En revanche, elles peuvent rendre des arrêts de principe, qui invitent les juridictions inférieures à statuer dans un sens, sans pour autant les y contraindre.

Un arrêt de principe pose pour la première fois un principe juridique important. En rendant un arrêt de principe, la juridiction (la Cour de cassation ou le Conseil d’Etat) affirme qu’elle compte réitérer cette solution dans les cas similaires.

Les arrêts de principe ont vocation à orienter à l’avenir les juges confrontés à des situations juridiques similaires. Ils expriment une solution de portée générale, à laquelle pourront se référer les juges confrontés à des cas analogues.

 

Exemple d’arrêt de principe

Un bon exemple d’arrêt de principe est l’arrêt Chronopost du 22 octobre 1996 (Cass. Com., 22 oct. 1996, n° 93-18.632).

Dans cet arrêt, la Cour de cassation a dégagé le principe selon lequel la clause limitative de responsabilité (qui limite le montant des dommages-intérêts dus en cas d’inexécution du contrat) qui porte sur une obligation essentielle du contrat et qui contredit la portée de l’engagement pris, doit être réputée non écrite.

Il faut bien comprendre que ce principe a été dégagé pour la première fois avec l’arrêt Chronopost. Avant cet arrêt, la clause limitative de responsabilité était réputée non écrite uniquement en cas de faute lourde ou dolosive.

Ainsi, le principe dégagé dans l’arrêt Chronopost n’existait pas avant cet arrêt, et il a vocation à s’étendre à des cas similaires. Il s’agit donc d’un arrêt de principe.

 

La distinction entre les arrêts de principe et les arrêts d’espèce

On oppose les arrêts de principe et les arrêts d’espèce.

On l’a dit : en rendant un arrêt de principe, la juridiction suprême invite les autres juridictions à statuer dans le même sens lorsqu’elles seront confrontées à un cas similaire.

A l’inverse, un arrêt d’espèce n’a pas de portée. Il ne sert qu’à trancher le litige en question ; la solution qu’il dégage n’a pas vocation à être étendue à des cas similaires.

Les arrêts d’espèce sont donc des arrêts de faible importance, qui ne vont pas orienter les décisions des juges dans le futur.

 

Comment identifier un arrêt de principe

 

Dans la suite de cet article, je vais vous donner 6 indices pour identifier un arrêt de principe.

Mais avant cela, je dois préciser deux choses.

Première chose : Un arrêt de principe est nécessairement un arrêt rendu par la Cour de cassation ou le Conseil d’Etat.

Pourquoi ? Tout simplement parce que seules ces deux juridictions, qui sont les juridictions suprêmes de l’ordre judiciaire et de l’ordre administratif en France, ont le poids et l’influence nécessaires pour rendre des décisions qui vont guider les juges confrontés à des cas similaires à l’avenir.

Deuxième chose : Dans le cadre des commentaires d’arrêt que vous devrez réaliser, vous aurez assez souvent des arrêts de principe à commenter.

Attention ! Tous les arrêts ne sont pas des arrêts de principe. Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit.

Cependant, si on vous a donné un arrêt à commenter, c’est vraisemblablement que l’arrêt présente un certain intérêt, une certaine importance. Il est donc très probable qu’il s’agisse d’un arrêt de principe.

Ceci étant dit, voici les 6 indices qui vous permettront de savoir si l’arrêt que vous devez commenter est un arrêt de principe ou non.

 

Indice n°1 : L’arrêt a été rendu par l’Assemblée plénière ou la chambre mixte de la Cour de cassation

Si l’arrêt a été rendu par l’Assemblée plénière ou la chambre mixte, il y a plus de chances que ce soit un arrêt de principe.

Rappel : La Cour de cassation est composée de chambres entre lesquelles sont répartis les pourvois à examiner. On distingue les formations ordinaires (la première chambre civile, la deuxième chambre civile, la troisième chambre civile, la chambre commerciale, la chambre sociale et la chambre criminelle) des formations solennelles (l’Assemblée plénière et la chambre mixte).

Les formations solennelles ne siègent pas de manière permanente, et ne se réunissent que dans certains cas. En particulier :

  • La chambre mixte se réunit lorsqu’une question relève des attributions de plusieurs chambres, ou lorsque sur une question similaire, plusieurs chambres de la Cour de cassation ont rendu ou sont susceptibles de rendre des solutions différentes. La Cour de cassation ayant un rôle d’unification de l’interprétation de la jurisprudence, l’idée est, avec la chambre mixte, de dégager une interprétation commune.
  • L’Assemblée plénière se réunit dans deux cas distincts :
    • lorsqu’une question nouvelle ou de principe est posée à la Cour de cassation ; ou
    • lorsqu’après un arrêt de cassation, la cour d’appel de renvoi ne se conforme pas à la solution de la Cour de cassation. Un deuxième pourvoi peut alors être formé, et il revient à l’Assemblée plénière de statuer.

La chambre mixte et l’Assemblée plénière étant les formations les plus importantes, elles rendent souvent des arrêts de principe.

Il ne s’agit toutefois pas d’une règle absolue… Un arrêt de principe peut tout à fait être rendu par une formation ordinaire de la Cour de cassation. Par exemple, l’arrêt Chronopost, donc nous avons parlé précédemment dans cet article, est un arrêt de principe qui a été rendu par la chambre commerciale de la Cour de cassation.

Pour connaître la chambre qui a rendu l’arrêt, c’est très simple : la chambre est indiquée dans les références en haut à gauche de l’arrêt.

Voilà à quoi cela ressemble sur le site Legifrance :

 

identifier la chambre de la Cour de cassation sur Legifrance

 

Indice n°2 : L’arrêt a été publié au Bulletin

Si l’arrêt a été publié au Bulletin, il y a de bonnes chances que ce soit un arrêt de principe.

Rappel : Le « Bulletin » désigne le Bulletin des arrêts des chambres civiles ou le Bulletin des arrêts de la chambre criminelle (ces bulletins sont mensuels). Les arrêts publiés au Bulletin sont les arrêts qui ont une portée importante, soit parce que ce sont des arrêts de principe, soit parce que ce sont des revirements de jurisprudence, soit parce que la Cour de cassation souhaite porter à la connaissance de tous sa position sur un sujet précis.

Pour identifier si l’arrêt que vous devez commenter a été publié au Bulletin, c’est également très simple.

Les lettres en haut de l’arrêt, juste à côté du numéro de l’arrêt, peuvent vous renseigner sur le mode de publication de l’arrêt.

Je parle de ces lettres :

Les premières lettres (ici « FS », mais on trouve également « F », « FR » ou encore « FP ») nous renseignent sur la nature de la formation qui a rendu l’arrêt (formation restreinte, formation de section ou formation plénière). Mais ce qui nous intéresse surtout, ce sont les lettres qui suivent.

Ici par exemple, la lettre P nous indique que l’arrêt a été publié au Bulletin.

Mais attention ! La Cour de cassation a modifié le siglage de ses arrêts le 15 juin 2021. Ainsi, la lettre qui vous indique si l’arrêt que vous devez commenter a été publié au Bulletin n’est pas la même selon la date de l’arrêt :

  • pour les arrêts antérieurs au 15 juin 2021, comme dit précédemment, c’est la lettre P qui vous indique que l’arrêt a été publié au Bulletin.
  • pour les arrêts postérieurs au 15 juin 2021, c’est en revanche la lettre B qui vous indique que l’arrêt a été publié au Bulletin. La lettre B correspond donc à l’ancien P.

Voici un exemple :

Cet arrêt a été rendu le 13 janvier 2022, soit après la réforme de la classification des arrêts de la Cour de cassation. La lettre B nous indique donc qu’il s’agit d’un arrêt publié au Bulletin.

Autre point : Si l’arrêt a également été publié au Rapport annuel de la Cour de cassation, vous pouvez être presque certain qu’il s’agit d’un arrêt de principe. Le Rapport annuel de la Cour de cassation regroupe en effet les arrêts les plus importants de chaque année.

Pour identifier si l’arrêt a été publié au Rapport, vous pouvez également vous référer aux lettres à côté du numéro de l’arrêt. Et si vous remarquez une lettre R , c’est que l’arrêt a été publié au Rapport.

Petite précision : Ici, il n’y a pas de distinction entre les arrêts rendus avant le 15 juin 2021, et ceux rendus après. Que l’arrêt soit antérieur ou postérieur au 15 juin 2021, c’est toujours la lettre R qui vous indique que l’arrêt a été publié au Rapport.

Par ailleurs, si vous avez un commentaire d’arrêt à faire chez vous, une autre méthode pour vérifier si votre arrêt a été publié au Bulletin (et au Rapport) est d’aller consulter votre arrêt sur le site de la Cour de cassation.

Rendez vous donc sur courdecassation.fr.

Une fois sur le site, tapez le numéro de pourvoi de votre arrêt dans la barre de recherche :

 

 

Le site de la Cour de cassation trouvera ensuite votre arrêt, et vous indiquera le mode de publication de l’arrêt :

 

 

Ici par exemple, pour l’arrêt précité du 13 janvier 2022, le site de la Cour de cassation nous indique bien que l’arrêt a été publié au Bulletin et au Rapport.

En revanche, si l’arrêt n’a pas été publié au Bulletin, il ne sera rien écrit. Comme ici par exemple :

 

 

Indice n°3 : L’arrêt est un arrêt de cassation

Les arrêts de principe sont plus souvent des arrêts de cassation que des arrêts de rejet.

En effet, un arrêt de rejet est un arrêt qui confirme la décision de la cour d’appel. Or dans la majorité des cas, les décisions des juges du fond n’innovent pas ; elles se conforment à la jurisprudence existante, et notamment à la jurisprudence de la Cour de cassation.

Dès lors, les arrêts de rejet ne sont généralement pas des arrêts qui posent un principe juridique important pour la première fois.

A l’inverse, un arrêt de cassation a plus de chances d’être un arrêt qui innove, qui pose un principe juridique important pour la première fois.

Mais attention ! Là encore, il ne s’agit pas d’une règle absolue… Il y a bien sûr des arrêts de rejet qui sont des arrêts de principe.

 

Indice n°4 : Dans le cas d’un arrêt de cassation, l’arrêt comporte un chapeau

Pour rappel, dans un arrêt de cassation, le chapeau est la partie qui suit et explique le visa. Dans le chapeau, la Cour de cassation parle de manière générale, abstraite, sans faire référence aux faits. Elle énonce un principe juridique, c’est-à-dire une règle de droit énoncée en des termes généraux. Le chapeau fait partie de la solution de la Cour de cassation. Plus encore, il correspond bien souvent à la solution de la Cour de cassation.

Prenons l’exemple de cet arrêt rendu le 15 avril 2011 par l’Assemblée plénière de la Cour de cassation (Ass. plén., 15 avril 2011, n° 10-17.049).

Voici un extrait de l’arrêt :

Sur le moyen unique, pris en sa deuxième branche :

Vu l’article 6 de la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, ensemble l’article 63-4, alinéas 1 à 6, du code de procédure pénale ;

Attendu que les Etats adhérents à cette Convention sont tenus de respecter les décisions de la Cour européenne des droits de l’homme, sans attendre d’être attaqués devant elle ni d’avoir modifié leur législation ; que, pour que le droit à un procès équitable consacré par l’article 6 § 1 de la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales soit effectif et concret, il faut, en règle générale, que la personne placée en garde à vue puisse bénéficier de l’assistance d’un avocat dès le début de la mesure et pendant ses interrogatoires ;

Le paragraphe qui commence par « Vu » est le visa, c’est-à-dire le texte qui sert de fondement à la Cour de cassation pour casser la décision attaquée. En l’espèce, il s’agit de l’article 6 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, qui consacre le droit à un procès équitable.

Le paragraphe qui suit est un chapeau. Dans ce chapeau, la Cour de cassation explique l’article 6 de la Convention, en disant que : « il faut, en règle générale, que la personne placée en garde à vue puisse bénéficier de l’assistance d’un avocat dès le début de la mesure et pendant ses interrogatoires ».

La présence d’un chapeau n’est pas systématique dans les arrêts de cassation. Mais si l’arrêt que vous devez commenter en comporte un, c’est un signe supplémentaire qu’il s’agit d’un arrêt de principe.

Encore une fois : il ne s’agit pas d’une règle absolue ! Certains arrêts de principe n’ont pas de chapeau. Par exemple, l’arrêt Chronopost précédemment évoqué n’a pas de chapeau.

 

Indice n°5 : Dans le cas d’un arrêt de cassation, le cas d’ouverture à cassation est un cas de violation de la loi

Rappel : Les cas d’ouverture à cassation sont les cas qui permettent à une des parties au litige de former un pourvoi en cassation. Les deux cas d’ouverture à cassation les plus fréquents sont :

  • la violation de la loi, lorsque le demandeur au pourvoi estime que la décision de la cour d’appel est contraire à la loi.
  • le manque de base légale, lorsque le demandeur au pourvoi reproche aux juges du fond de ne pas avoir motivé la décision de manière suffisante, de ne pas s’être suffisamment expliqués, justifiés.

De manière générale, le manque de base légale ne donne pas souvent lieu à un arrêt de principe.

Dans un arrêt de principe, le cas d’ouverture à cassation est généralement la violation de la loi.

 

Indice n°6 : L’arrêt a été beaucoup commenté par la doctrine

Si l’arrêt a beaucoup été commenté par la doctrine, là encore, il y a de bonnes chances que ce soit un arrêt de principe.

Pour savoir si l’arrêt a fait l’objet de commentaires doctrinaux, vous pouvez utiliser les bases de données juridiques auxquelles vous avez accès avec l’ENT de votre université.

Sur Dalloz par exemple, après avoir trouvé l’arrêt que vous devez commenter, vous verrez sur la droite de l’arrêt une rubrique « Voir aussi ».

Dans cette rubrique, dans l’onglet « Revues », vous verrez les différents commentaires de la doctrine au sujet de l’arrêt.

Voilà à quoi cela ressemble dans Dalloz :

 

trouver les commentaires de la doctrine dans Dalloz

 

Le nombre de commentaires doctrinaux au sujet de l’arrêt est un indice important pour savoir si vous êtes face à un arrêt de principe ou non.

Tout simplement parce que plus un arrêt est important, plus il fera l’objet de commentaires de la part de la doctrine.

De manière générale, si l’arrêt a été commenté à plus de deux reprises, il est probable qu’il s’agisse d’un arrêt de principe.

A l’inverse, s’il y a moins de deux commentaires doctrinaux, il y a peu de chances que ce soit un arrêt de principe.

 


 

J’espère que ces explications vous aideront pour vos commentaires d’arrêt 🙂

Dites-moi dans les commentaires quelles astuces vous utilisez pour identifier les arrêts de principe.

 

 

Et si vous avez aimé cet article, partagez-le ! C’est gratuit 😉

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Je m’appelle Maxime Bizeau, et je suis avocat de formation, diplômé de l’école d’avocats du Barreau de Paris.

Après mon bac, je me suis lancé dans l’aventure de la licence de droit.

Mais très vite, je me suis senti submergé par la charge de travail. Des centaines et des centaines de pages à apprendre, sans savoir sur quoi se focaliser, sans savoir ce qui était réellement important et ce qui ne l'était pas.

Mes résultats étaient irréguliers, et pas à la hauteur de mes espérances.

J’ai donc décidé de changer ma méthode de travail. Plutôt que d'essayer de tout retenir, j'ai commencé à ficher mes cours régulièrement, et à relire ensuite mes fiches avant les examens.

Rapidement, mes résultats se sont considérablement améliorés.

J’ai finalement validé ma licence avec mention (13,32 de moyenne) et mon master 1 en droit des affaires avec 15 de moyenne.

Ces bons résultats m’ont ouvert les portes du prestigieux Master 2 Droit financier de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et des plus grands cabinets d’avocats d’affaires internationaux.

J’ai ainsi pu travailler dans des cabinets anglo-saxons très réputés à Paris, avec des gens brillants, sur des dossiers passionnants, et dans des conditions optimales.

A travers ce site, je souhaite aider un maximum d’étudiants en droit à atteindre leurs objectifs.

  • L’article sur la distinction entre un arrêt de principe et un arrêt d’espèce m’a été très utile.
    Merci bcp

  • Merci beaucoup ! Cet article m’a été très utile !

  • Monoko prince armel dit :

    Vraiment satisfait de l’explication bien détaillée Merci énormément waoooo 💓

    • Maxime Bizeau dit :

      Merci pour votre retour!

  • Super! Franchement cela
    Résume vraiment bien ce qu’il faut connaître non seulement du cour mais aussi de la méthodologie afin de
    Comprendre l’arrêt que l’on a a commenté .
    Je suis en distanciel à La Sorbonne donc pas évident d’avoir autant d’infos des profs sur la méthodologie. Un grand merci ! Ça plus les fiches et la formation dissertation !maxime m’a permis d’avoir 13 à la première dissertation et 12 a la fiche d’arrêt pourvu que ça dure ….

  • Etudiante en Droit dit :

    Merci beaucoup pour cet article, cela m’aide vraiment pour mes commentaires d’arrêts. 🙂

  • marie lazare ONI dit :

    Merci beaucoup à vous c est compréhensible

  • Chapeau bas! Felicitations. J’ai tres bien appris et compris. Merci infiniment!

    • Maxime Bizeau dit :

      Ravi que cet article vous ait plu 🙂

  • C’est clair, concis, efficace. MERCI

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